SCHUBERT Franz (1797-1828) > Messe n°2 en sol majeur, D 167
Enregistrement public de la 24e saison, du concert de printemps de la Formation de Chambre (FC) des Choeur et Orchestre des Grandes Ecoles, réalisé les :
Samedi 31 Mars 2007 à 21h en l'Église Saint-Marcel (Paris 13e).
Direction musicale :
Vsevolod POLONSKY, chef d'orchestre.
Silvio SEGANTINI, chef de choeur.
Solistes :
GALLAND Ségolène, alto.
GEISSLER Ivan, baryton.
REVAULT D'ALLONNES Sabine, soprano.
RICHARDS Sarah, soprano.
MUGLIONI Mathieu, ténor.
Le compositeur a choisi de conserver le cadre traditionnel de la messe catholique et le découpage en six mouvements, dans l’ordre classique, fixé aux siècles précédents (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus, Benedictus, Agnus Dei). Le texte est bien entendu tiré de textes liturgiques, en latin. Une stabilité tonale (deux tonalités principales, sol majeur – ré ma- jeur), rythmique et harmonique règne dans cette œuvre. Le texte mis en musique ne présente aucune répétition, contrairement à la Messe en Fa, qui mettait l’accent sur la riche technique instrumentale et les prouesses vocales. La prééminence du chœur sur les trois solistes est évidente. Soprano, ténor et basse n’interviennent en effet la plupart du temps qu’en trio. Malgré tout, cette « messe de campagne » paisible, d’une grande clarté et d’une fraîcheur inédite chez Schubert, comporte certaines subtilités...
Retrouvez plus d'informations sur ce programme en consultant cette page :
https://www.coge.org/programme/24-fc02/symphonie-n-9-de-dmitri-chostakovitch.html
Samedi 31 Mars 2007 à 21h en l'Église Saint-Marcel (Paris 13e).
Direction musicale :
Vsevolod POLONSKY, chef d'orchestre.
Silvio SEGANTINI, chef de choeur.
Solistes :
GALLAND Ségolène, alto.
GEISSLER Ivan, baryton.
REVAULT D'ALLONNES Sabine, soprano.
RICHARDS Sarah, soprano.
MUGLIONI Mathieu, ténor.
Le compositeur a choisi de conserver le cadre traditionnel de la messe catholique et le découpage en six mouvements, dans l’ordre classique, fixé aux siècles précédents (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus, Benedictus, Agnus Dei). Le texte est bien entendu tiré de textes liturgiques, en latin. Une stabilité tonale (deux tonalités principales, sol majeur – ré ma- jeur), rythmique et harmonique règne dans cette œuvre. Le texte mis en musique ne présente aucune répétition, contrairement à la Messe en Fa, qui mettait l’accent sur la riche technique instrumentale et les prouesses vocales. La prééminence du chœur sur les trois solistes est évidente. Soprano, ténor et basse n’interviennent en effet la plupart du temps qu’en trio. Malgré tout, cette « messe de campagne » paisible, d’une grande clarté et d’une fraîcheur inédite chez Schubert, comporte certaines subtilités...
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